L’économie française est au bord de l’asphyxie.
Les factures impayées ont augmenté de 70 % depuis le début de la crise du Coronavirus.
Les petits commerçants paniquent de ne pas savoir quand ils pourront reprendre une activité normale.
Les PME sont à l’arrêt et se demandent bien comment elles vont pouvoir survivre avec une trésorerie aussi tendue.
Redressements et liquidations judiciaires en hausse
Les redressements et les liquidations judiciaires se multiplient, et personne n’est à l’abri : André, Canavese, Orchestra, Novares, Bourbon, Scala, Presstalis, Gerbe y sont passés. À qui le tour maintenant ?
Même un mastodonte de l’industrie française, Airbus, est menacé par l’effondrement de l’activité économique.
Vers une crise économique majeure ?
Alors, l’Etat enchaine les prêts, le déblocage de fonds et les aides diverses.
À court terme, c’est salutaire, mais sur le moyen terme, les conséquences risquent d’être désastreuses :
Toute personne ayant un minimum de notion en économie sait très bien que la planche à billets et l’endettement à outrance n’augurent rien de bon pour l’avenir.
Car qui va payer l’addition ? C’est Bibi !
Mais pas Bibi Macron, non, mais le Bibi moyen, comme vous et moi.
Dans le meilleur des cas, on nous demandera de travailler plus pour gagner moins, de renoncer à nos congés et de payer plus d’impôts. (Ça ne m’étonnerait pas qu’ils nous en créent des p’tits nouveaux dans les mois à venir d’ailleurs).
Dans le pire des cas, et c’est le scénario catastrophe, l’inflation s’envole, l’économie tout entière s’effondre et le chaos se substitue au confinement.
Les dangers de la planche à billets

Alors, certes, ce n’est jamais le même scénario, mais n’oublions jamais que les crises économiques, l’inflation et la planche à billets ont souvent engendré le pire :
Argentine, Venezuela, Grèce, Allemagne des années 30 ou encore Liban, qui a plongé dans une crise sans précèdent il y a quelques mois de cela, et dont la presse minimise les conséquences.
Je ne cherche pas à vous faire peur, mais à focaliser votre attention sur certains points, ceux sur lesquels vous avez votre mot à dire, de l’influence, ceux que vous pouvez « travailler » et améliorer, indépendamment de la situation économique globale.
Vous l’avez compris, je vous parles de vos factures impayées.
Factures impayées et solutions à court terme
Aujourd’hui, tout le monde s’affole, toutes les entreprises paniquent face à l’explosion des factures impayées.
Alors, on cherche des solutions répressives ou dissuasives pour faire passer à la caisse les mauvais payeurs :
- On fait appel à un médiateur.
- On confie ses dossiers à une société de recouvrement.
- On met un coup de pression à ses clients (ou à ses fournisseurs, parce qu’on n’a plus assez de cash pour les payer – cercle vicieux oblige).
- On transfère ses impayés à un factor.
- Etc.
Et quel est le point commun entre toutes ces mesures ?
Elles arrivent trop tard !
Elles visent à pallier, à soulager ou à recoudre à la va-vite une blessure ouverte.

Sont-elles efficaces ?
Parfois, oui, mais à quel prix !
Du coup, me diriez-vous, qu’aurait-il fallu faire à la place ?
Eh bien, tout simplement, ANTICIPER.
Le recouvrement préventif : la meilleure stratégie à adopter
Le recouvrement de créances ne se limite pas au répressif. Il doit aussi se concentrer sur la partie préventive.
Un impayé, ça se combat avant même sa naissance, ça s’étouffe avant qu’il n’ait pu inspirer son premier bol d’air.
Un impayé, c’est comme une maladie :
Soit on minimise les risques de l’attraper en prenant les mesures adéquates (bonne hygiène de vie, sport, fruits et légumes bio, yoga…).
Soit on fait n’importe quoi toute sa vie et quand la maladie apparait, on tente de la soigner avec les moyens du bords, selon notre état et la gravité.
Empêcher ou limiter la création des impayés fonctionne sur le même schéma :
Il est impératif, vitale, de prendre les mesures adéquates dés le début, parfois même avant d’avoir fait signer le devis au client, de lui avoir livré quoi que ce soit.
Ces mesures, si vous les appliquez, vous permettront :
- De réduire drastiquement le volume de vos impayés.
- De gonfler votre trésorerie.
- De dormir sur vos deux oreilles, au lieu de vous répéter : « Mince, j’ai fait une boulette ! »
- De mener la vie dure aux mauvais payeurs, qui verront leur champ d’action réduit.
- De déceler les clients en difficulté financières avant même de vous être engager contractuellement avec eux.
Ces mesures, je les ai regroupées dans la formation en ligne Combattre les Impayés à la Source !
11 stratégies préventives infaillibles qui vous permettront d’empêcher la création de l’impayé.
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